Les Origines du Bracelet MALA

LES ORIGINES DU BRACELET MALA 📿

Le bracelet Mala est aussi appelé bracelet bouddhiste ou bracelet tibétain. Mala est un terme d’origine sanskrit qui signifie “guirlande de perles” ou “guirlande méditation”.

Le sens de sa traduction vient de son utilisation. Dans différents courants spirituels, le bracelet Mala se manie comme un chapelet.

Encore aujourd’hui, on dispose de peu d’informations fiables sur l’histoire du bracelet Mala.

On sait cependant que ce dernier existe depuis de très nombreuses années. Les historiens estiment son âge à plus de 3000 ans.

Le bracelet Mala a été créé en Inde. Cet accessoire ancestral est au coeur de la pratique bouddhiste et hindouiste.

Il est utilisé, entre autres, comme un bracelet de prière ou de méditation. Le nombre de perles qu’il comporte n’est pas non plus anodin. La constitution du bracelet Mala repose sur diverses croyances.

LA CONSTITUTION DU BRACELET MALA Les significations du nombre 108 :

Le bracelet Mala peut être fabriqué en différentes matières et tailles.

Il se constitue traditionnellement de perles en bois de santal aux multiples nuances de couleurs.

Les perles peuvent également être constituées de différentes pierres.

Le Mala est aussi équipé d’un fermoir conique et d’une amulette. Ce chapelet bouddhiste se constitue exactement de 108 perles.

Le nombre 108 n’est pas choisi au hasard. Il est le symbole de plusieurs éléments : Les 108 noms de Bouddha. Les 108 noms de divers dieux et déesses hindouistes. Les 108 épreuves subies par Bouddha pour atteindre l’Illumination. Les 108 positions du yoga et les 108 mouvements du tai-chi. Les 108 lignes d’énergie qui constituent le chakra du cœur. Les 108 gestes rituels de l’approche tantrique. Les 108 liens karmiques. Les 108 sentiments en lien avec le passé, le présent et le futur. Les 108 péchés à combattre. Les 108 vertus à convoiter. Les 108 souffrances spirituelles. Les 108 textes philosophiques et religieux hindouistes. Les 108 tombeaux extérieurs au Japon. Les 108 feux allumés au Japon lors du culte des morts.